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La fraude du nom : notre identité ne nous appartient pas !

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L’univers complexe du droit et des finances est de plus en plus remis en question par des fous, de plus en plus nombreux, qui aspirent à une vie libre. La fraude du nom légal, sujet discuté dans la sphère des théories du complot, pose beaucoup de questions. Serait-ce la clef afin de démanteler ce système qui commence à resserrer drastiquement et numériquement son étau pour contrôler les plus récalcitrants ? De ses origines à ses applications actuelles, faisons un petit tour d’horizon des aspects méconnus du système légal, remettant en question notre compréhension de l’identité et des droits juridiques des citoyens.

Le mystère de la fraude du nom

Au cœur de la fraude du nom se trouve une remise en question audacieuse de l’identité juridique telle que nous la connaissons. Nos noms de famille, inscrits en majuscules sur des documents officiels tels que les actes de naissance, seraient le premier pas de notre transformation en entités fictives, distinctes de notre être physique. En d’autres termes, nous ne sommes plus simplement des êtres humains, mais des « personnes juridiques » prêtes à être exploitées dans le cadre d’un système commercial complexe. Et notre personne physique serait donc, dans l’obligation de répondre de cette entité juridique.

Pour comprendre pleinement la fraude du nom, il est impératif de plonger dans l'histoire. Cette "supercherie" prendrait racine dans les lois maritimes et la nécessité de gérer les biens en cas de naufrage en mer. À l'époque, les actes de naissance étaient utilisés pour établir une "personne juridique" qui pouvait être associée à des biens en cas de perte en mer. Une origine historique qui peut sembler éloignée, mais qui a évolué pour devenir une pierre angulaire du système juridique contemporain.

Pour comprendre pleinement la fraude du nom, il est impératif de plonger dans l'histoire. Cette "supercherie" prendrait racine dans les lois maritimes et la nécessité de gérer les biens en cas de naufrage en mer. À l'époque, les actes de naissance étaient utilisés pour établir une "personne juridique" qui pouvait être associée à des biens en cas de perte en mer. Une origine historique qui peut sembler éloignée, mais qui a évolué pour devenir une pierre angulaire du système juridique contemporain.

La Transformation en Marchandise

Le concept de la fraude du nom a continué à évoluer au fil des siècles pour devenir une partie intégrante du système légal actuel. Nos actes de naissance seraient désormais utilisés comme titres de propriété, permettant aux gouvernements de commercer avec nos "personnes juridiques" sur les marchés internationaux. Cette idée peut sembler sortie tout droit d'un thriller de science-fiction, mais elle reposerait sur des accords juridiques internationaux, comme l'accord entre la Confédération helvétique et la Communauté européenne sur le trafic de marchandises.

Conséquences profondes

La fraude du nom a des répercussions qui s'étendent bien au-delà du monde des lois et des finances. Elle remet en question la nature même de notre relation avec l'État et les autorités fiscales. Les implications sont vastes, allant de la souveraineté contestée de certains territoires, le droit de propriété et à la remise en question du pouvoir des autorités locales sur nos vies. Sommes-nous esclaves d’un système moderne ou simplement en désaccord avec lui ? Après les années 2020, 2021 et 2022, la liberté serait-elle en train de reprendre ses lettres de noblesse dans la tête des gens ?

Éveil et conscience

Dans une interview, David Vincent, qui semble être bien documenté sur le sujet, souligne l'importance de la compréhension de la fraude du nom comme un moyen d'éveil. La connaissance de ce système complexe nous permet de prendre des décisions éclairées concernant nos finances et nos droits juridiques. Elle nous incite également à nous interroger sur notre propre identité au-delà des structures légales. Plusieurs ont déjà fait une partie du chemin pour se libérer de cette personne juridique avec plus ou moins de succès. Alice, tête de proue du collectif One Nation, a commencé un processus d’émancipation qui lui a malheureusement valu un séjour en prison de plusieurs mois. Guylaine Lanctôt, qui préfère que l’on la nomme Diesse Ghis (voir interview dans le magazine N°34), a elle aussi dû faire un court séjour derrière les barreaux. Mais, c’est impuissant que la justice a dû la libérer après quelques semaines seulement.

... en conclusion

La fraude du nom est un sujet profondément intrigant qui bouscule notre compréhension du système légal et financier qui régit nos vies au quotidien. Qu'elle soit perçue comme une théorie du complot controversée ou comme une remise en question nécessaire, cette idée mérite indubitablement une réflexion approfondie et une enquête plus poussée. Elle nous rappelle que, même dans un monde apparemment bien ordonné, il y a toujours des mystères à dévoiler et des vérités à explorer. Une chose est certaine, c’est que ce monde ne tourne pas rond et qu’on se laisse prendre pour des cons impuissants.

Danny Marquis

Note : voici une vidéo en français pour aller plus loin.

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