Après la première partie « Le mal, messager de l’âme », je suis très heureux de vous partager la seconde partie de l’entretien sans filtre avec Rose et Gilles Gandy. Cette deuxième partie expose une autre approche de nos maux. Transformant littéralement notre rapport à la maladie en ne la voyant non plus comme ennemi, mais comme allié précieux.

« Le corps ne ment jamais », lance Gilles d’entrée. « Ce que vous appelez symptôme, nous l’appelons message. » Leur démonstration est implacable : là où la médecine conventionnelle voit un problème à éradiquer, ils décryptent un langage secret. « Une douleur chronique, c’est souvent une mémoire qui crie pour être entendue », précise Rose.

Leur outil principal ? Des baguettes coudées qui font office de traducteurs énergétiques. « Elles pointent toujours vers le vide – ce que la conscience n’a pas encore intégré », explique Gilles. Comme avec cet homme dont les problèmes de quarantenaire dataient d’un refus de s’engager dans la vie à 8 ans, révélé par un simple mouvement des baguettes.

La révélation la plus frappante concerne l’effet placebo spirituel : « Quand un patient dit ‘J’ai compris pourquoi j’ai créé ça’, la guérison est déjà là », souligne Rose. Bien plus qu’une technique, c’est une philosophie : « On ne combat pas les ombres, on allume des consciences. »

💘 C’est très ému que j’ai terminé le montage de cette vidéo. J’espère sincèrement que toutes ces heures de travail vous toucheront autant que moi.

« Votre pire symptôme est souvent votre meilleur professeur », concluent-ils. Une vision radicale qui replace chaque épreuve dans sa dimension sacrée – non comme punition, mais comme chemin d’évolution.